On accordera une nette préférence à l’univers onirique, fantastique, humoristique de Morandini et de son personnage quelconque, saisi dans sa singularité énigmatique, dans l’indécidabilité de sa relation au monde, tout simplement parce qu’il manifeste un pouvoir essentiel de la littérature, celui de dire le différent, celui d’inventer des mondes possibles, celui de traverser les apparences.
(Philippe Daros, En Attendant Nadeau)

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Tendresse, humour et perspicacité entourent l’écriture de ce récit sensuel. Un magnifique conte sur la vie et ses merveilles, parfois invisibles, qui en font le sel et la matière.
(P.E. & F.E., Les Notes)

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Bouleversant et magnifique ouvrage.
(Nikola Delescluse-Willaert, Paludes, 19 avril 2024)

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Entre silences et attentes, une angoisse sourde grandit avec l’enfant, devenu poète comme pour s’en faire une amie.
(Livres Hebdo)

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C’est en douceur, que je me suis laissé envoûter et emporter dans un monde magique, qui rappelle l’univers d’Italo Calvino avec son Baron perché, ou celui de Bernard Quiriny et ses Contes carnivores.
(Claude Muslin, Les Automn’Halles)

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Un univers baroque où l’auteur exprime une angoisse – la sienne aussi, sans doute. Il nous confit en outre sa préoccupation pour les générations à venir. Entre les lignes, il nous questionne. Que faire face à l’insupportable de la condition humaine ? Quel refuge s’ouvre à nous ? La prison faussement sécurisante des dogmes et des superstitions ? La fuite vers les univers parallèles ? La tentation de la toute puissance ? La réclusion ? L’indifférence ? Ou alors – et ce n’est pas un conseil mais une fatalité – s’abandonner, comme il le fait, à tous les possibles du monde et vivre en poésie ?
(Patrick Auzet-Magri, Les Automn’Halles)

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Choses, bêtes et prodiges est de ces livres précieux qui, avec les armes du conte, parviennent à parler du réel mieux que n’importe quel documentaire.
(Grégoire C., Librarie Obliques)

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Quelque part entre Lovecraft et Buzzati, une des voix italiennes d’aujourd’hui, des plus originales !
(Guide de vos envies de lecture, printemps 2024)

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La montagne, toujours vue comme source de folie et d’absurdité plus que de beauté, et d’ailleurs jamais décrite mais toujours évoquée comme un décor inévitable et un peu oppressant, est toujours présente en filigrane. Elle est même présente en négatif dans une série de chapitres consacrés au delta du Pò, où un humour un peu cruel se mêle à l’étrangeté, comme souvent chez cet auteur qui prouve encore une fois avec ce livre qu’il est l’un des plus intéressants de la littérature italienne contemporaine.
(Sarah Vandamme, La Clé des Langues)

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