Adelmo Farandola vit reclus dans sa montagne «durant des journées immobiles qui deviennent des nuits», écrit l’italien Claudio Morandini. Adelmo est un vieil ermite qui ne voit presque personne. Il y a bien le garde-chasse «qu’il croise, ou a croisé, il ne se souvient plus trop, sa mémoire fiche le camp depuis quelque temps»; ce chien qui le suit et avec lequel il commence à parler; et un pied qu’il trouve, reste inexpliqué d’un corps humain… Un roman poétique et âpre sur la solitude.

(C. S., Psychologies Magazine, mai 2017)

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