Une narration impeccable, teintée d’ironie, d’absurdité et de suspense.
(Florence Courriol-Seita, Le Monde des Livres, 8 octobre 2021)
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De cet univers en vase clos, Morandini tire un roman subtil et plein de chausse-trapes.
(Guillaume Contré, Le Matricule des Anges)
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Question style, il y a indéniablement du Edgar Allan Poe dans cette voix-là.
(Matt Deroche, Zap, octobre 2021)
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Un très beau texte.
(Nikola Delescluse, Paludes 973)
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Splendide, je dis.
(Eric Pessan, facebook)
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Une vraie force d’écriture.
(L. C., Le Patriote, 16 septembre 2021)
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Une invention sidérante.
(Guénaël Boutouillet, LivrezNoel2021)
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Ce roman, sans véritables repères géographiques ni temporels, rappelle Les Saisons de Maurice Pons ; au fil des pages c’est l’obscurité et l’étrange qui prennent le pas.
(M. B., Ballast Revue)
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Sauvage, obsédant, bravo à Claudio Morandini.
(Crayon de couleuvre, La mare aux livres)
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Huis-clos dans un village reculé où se déploient les codes de l’horreur et du fantastique.
(Radici, libri 117)
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Un style remarquable et une écriture lente et précise.
(Notre Italie)
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Encore un objet littéraire non identifié de Claudio Morandini.
(Librairie Histoire de l’oeil, Marseille)
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Une histoire d’ombres et de lumières, un livre résolument étrange et fascinant !!! Brrrr…
(La Petite Librairie, Sommières)
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On pense évidemment au grand Ramuz dans cet affrontement de montagnards «d’en haut» et «d’en bas», mais un Ramuz auquel on ajouterait le burlesque de Calvino : c’est ce que réussit fort habilement Morandini.
(La Librairie de Clermont)
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Tel le peintre – on imagine des toiles de Jérôme Bosch – Claudio Morandini applique le clair obscur dans ce roman alliant étrange et grotesque.
(La Baignoire d’Archimède, Librairies Nouvelle-Aquitaine)
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Quand la littérature de l’ailleurs nous renvoie à l’ici.
(La Curieuse Librairie Troquet)
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Fable intrigante et déroutante.
(Librairie Le Texte Libre, Cognac)
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Les Oscillants porte très bien son titre puisque les personnages et les situations ne cessent d’osciller entre réalité et illusion, attraction et rejet, lumière et noirceur.
(Ludivine F., Lettres et merveilles)
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Des personnages étranges qui forment une communauté fermée, la rusticité, la nature déployée comme monde opaque, quasiment fantastique, transportent dans un ailleurs dont on ne peut échapper, tant on est piqué de curiosité.
(Nathalie, Page 36)
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On se sent rapidement aussi englué dans le roman que la jeune femme dans le village de Crottarda, avec une sorte de fascination un peu malsaine.
(Rêve–veille)
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Claudio Morandini joue avec les codes de l’horreur et du fantastique : j’ai été emportée, comme hypnotisée par l’ambiance glaçante et le piège fascination/répulsion qui se referme sur nous comme sur l’héroine
(Librairie Gutenberg, Strasbourg)
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Entre le burlesque, le fantastique et l’horreur, l’univers de Morandini est décidément singulier : impossible de lâcher ce roman !
(Lucie, Librairie Mollat, Bordeaux)
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C’est drôlement original et originalement drôle.
(Mme Pastel)
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L’auteur joue avec les codes du fantastique et nous entraîne dans un univers sombre et glaçant, dans ce village isolé nous faisant l’effet d’un huis clos. Un roman original et fascinant.
(Sindy K., Librairie Decitre, Chambéry)