Un récit saisissant et cruel, déroutant, semblable à ces histoires légendaires que l’on aime à raconter à la veillée, et que la traduction ici restitue dans toutes ses nuances.
(Florence Courriol-Seita, Le Monde des livres, 30 Jun 2017)
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Claudio Morandini dépeint la vie d’un homme isolé dans les hauteurs enneigées, avec pour compagnie un chien perdu. Un roman à la poésie vibratile aux frontières du réel.
(S. J. R., Livre-Hebdo n. 1119, 3 mars 2017)
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Sur de tels détails organiques, Claudio Morandini est très précis mais jamais pénible ni complaisant: il aime son vieux, il en a connu des comme lui, il le regarde vaquer dans ses éboulis, comme l’observerait un rapace, ou une souris dans la baraque, quand la neige fait craquer le toit.
((Isabelle Rüf, Le Temps)
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Un livre émouvant sur la solitude, la montagne et ses folies.
(Livrés à domicile, magazine littéraire présenté par T. Bellefroid, lundi 24 avril 2017, la Deux)
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Après Buzzati, un peu de réalisme magique alpestre.
(Quinzaines – Lettres, Arts et Idées n. 1233, Février 2021)
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D’une écriture sèche et précise, presque méticuleuse, il décrit le décor de pierre et de neige, l’obscurité qui gagne l’esprit d’un homme coupé des autres hommes, la peur qui s’insinue, mauvaise conseillère. On pense à Dino Buzzati, autre romancier des montagnes italiennes, qui aurait fait plus clairement d’Adelmo un fantôme. On aimerait en lire davantage du même auteur.
(Aurélien Ferenczi, Télérama, 24 avril 2017)
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Un conte cruel qui tient le lecteur en haleine.
(France Info, “A livre ouvert”, 13 mai 2017)
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Très belle écriture, très belle traduction aussi.
(Charlène Busali de la Librairie du Tramway de Lyon, RCF)
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Comme dans les contes métaphysiques, l’homme et le chien ne cessent d’échanger. Leurs dialogues, vifs et concis, apparentent la surdité mutuelle pour mieux s’envoyer des piques, des saillies qui font mouche. S’y résument les qualités de ce livre drôle et profond, dont la simplicité n’est qu’apparente.
(Guillaume Contré, Le matricule des anges, mai 2017)
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Le livre a la sibylline cruauté des comptines.
(Franck Adani, Etudes – Revue de culture contemporaine, octobre 2017)
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Cruel et grotesque, sarcastique, mais aussi irréel et poétique, ce roman, brillamment écrit, est vraiment original.
(Radici n. 89)
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Ici… il y a une histoire vraie, crue, violente aussi; c’est en même temps une fable, qui a pourtant l’évidence d’une réalité, qui fascine et fait rêver, et dit beaucoup de choses, en nous transportant aux frontières de la société, sur la manière dont nous sommes faits ‒ nous qui sommes à la fois humains et bêtes.
(Giuseppe A. Samonà, Vice Versa, trad. Sophie Jankélévitch)
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Un roman poétique et âpre sur la solitude.
(C. S., Psychologies Magazine, mai 2017)
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Un conte assez sombre qui raconte l’histoire d’Adelmo Farandola, son chien et… un pied.
(Valentina Chicca, Marque-Page, La Télé)
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Un conte policier, philosophique et cruel.
(CFM Radio, Cercle de lecture de Confluences)
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Un récit extraordinaire dont les maîtres mots sont la solitude et la folie. Excellente lecture!
(Elsa et Fred à la page)
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Con Neve, cane, piede la traduzione è stata veloce, senza intoppi. Sapevo di potermi fidare del testo, sentivo che la scrittura era stata pensata, che ogni parola aveva il suo senso e il suo giusto posto.
(Laura Brignon, Dire quasi la stessa cosa)
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Il s’agit d’un roman introspectif, dont le caractère macabre se rattache à la meilleure tradition gothique.
(Giuditta Casale, La bibliothèque italienne, traduction de Marta Somazzi)
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Un très beau texte, très dense dans sa brièveté.
(Nikola Delescluse, Paludes 826 du 17 mars 2017)
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Claudio Morandini nous offre un conte alpin hitchcockien teinté d’humour, d’angoisse et de psychologie totalement maîtrisé.
(Lilian Auzas, L’avis du Teckel sur…)
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Roman original et captivant, conte cruel et cocasse.
(Florence, Jusque Tard Dans La Nuit, 24 décembre 2021)
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On reste scotchés par les descriptions des paysages, du temps, des éléments et de la nature.
(Valérie, Page et Plume)
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C’est un texte qui tient du conte et du récit fantastique. L’écriture (et sa merveilleuse traduction) évoque très subtilement ce monde fait de silence et de bruits ténus, la poésie qui émane de la beauté sauvage de la nature.
Les dialogues entre l’homme et le chien sont à la fois irrésistibles de drôlerie et empreints d’une immense tendresse. C’est désespéré et cocasse à la fois.
(Marie-Laure Vanier, Lire au lit)
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Le texte est court, brutal, poignant. L’écriture incisive, dérangeante. Et le tableau esquissé du genre inoubliable.
(Julie Coutu, Julie à mi mots)
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Dans la solitude hivernale, les distances se resserrent et le mystère apparaît, sujet de ce roman rugueux, sombre et troublant.
(La plume au vent, Onlalu)
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Un portrait original d’un être frustre et misérable à l’état mental dans un équilibre précaire.
(Christian Palvadeau, mediathequedudoubs.blogspot)
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L’écriture sert bien le propos de ce texte très original. C’est sec, c’est rude, ça sent le caillou. Et c’est très juste.
(Le club de lecteurs de l’Association 120 Grand’rue)
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Il y a longtemps que je n’ai pas vu la montagne, et j’ai adoré la parcourir avec Adelmo Farandola et son chien bavard. C’est un livre original, qui fait du bien.
(Jeanlau, De Bloomsbury en passant par Court Green…)
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C’est un joli conte assez cruel, en absurdie, qui s’accomode fort bien de la concision. Et qui frôle bien souvent la poésie et le surréalisme. Un très beau moment. Je vais me renseigner sur ce Morandini.
(Eeguab, BLOGART (La Comtesse))
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Avec une juste dose de suspense, l’auteur nous livre une fable au ton féroce qui désarçonne et nous tient en haleine jusqu’au bout.
(Céleste, Livrogne.com)
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La dimension sauvage radicale, inquiétante et qui rogne imperceptiblement tout ce qui est à sa portée ajoute encore à la beauté élémentaire, parfois cocasse qui court tout au long de ces pages dont on vous recommande chaudement la lecture.
(Bertrand, La Fabrique à Chroniques)
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Un texte court, joliment écrit et assez intrigant pour ne pas le lâcher avant la fin.
(Le Bouquineur)
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Un beau roman sur les affres de la vieillesse et de la folie, avec pour toile de fond les rigueurs de la vie en haute montagne. Un roman sombre et dépaysant à l’atmosphère envoûtante.
(Myriam B., L’Influx)
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Pouvoir en discuter comme je l’ai fait par la suite avec d’autres personnes l’ayant lus sur cette fin et le contenu même de cet ouvrage, réaliser qu’il n’y a pas qu’une interprétation du déroulé des choses… un régal! (Cécile Rivière, The Girl Who Reads)
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Les dialogues imaginaires entre le chien et l’homme sont l’autre grande prouesse du livre en introduisant un humour revêche et décapant qui nous protège un peu du froid et de l’hostilité des éléments.
(Didier, Librairie La Licorne)
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Ce n’est pas un livre macabre comme pourrait l’être un polar sanglant, c’est plutôt une danse macabre. D’ailleurs, Adelmo ne s’appelle -t-il pas Farandola ?
(Bénédicte Wolf-Kiene, Larges Visions)
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C’est un plaisir particulier que de savourer mot après mot l’immersion dans cette histoire étrange, dans ce paysage désolé, de passer l’hiver aux côtés d’Adelmo Farandola, déroutant mais attachant.
(Néma, Le Deblocnot’)
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Ce n’est pas un livre sur la maladie, sur l’oubli, mais sur la solitude, le rapport avec la nature et les animaux.
(Catherine, Cathjack.ch)
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Puissamment panthéiste.
(Yossarian, Yossarian – Sous les galets, la page…)
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Magnifique.
(Louisette Clerc, Afivi.fr)
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La tension s’installe, tranquillement, tandis que les sens sont perturbés par l’enfermement, que la réalité semble de plus en plus incertaine.
(M.D. et A.-M.R., Les notes)
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Ce court roman est un conte cruel et fascinant, un brin cocasse et teinté de fantastique, sur la solitude, la vieillesse et une guerre ancienne.
(Sylvie, Voyage au fil des pages)
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Du réalisme magique à l’italienne !
(Les Gloses de la Pirate)
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Un livre très surprenant, entre Buzzati et Maurice Pons.
(Shangols)
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Morandini, kafkaien à bas bruit.
(Tanneurs Quarante-Cinq, Inter Pares)
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C’est très drôle, tout en étant particulièrement degueu, scabreux et dérangeant.
(Mme Pastel)